Le dernier touitt-émoi, c’est la sortie d’un petit livre et de son article associé qui permet de bien se créer du bruit et de la fureur et nous de nous entraîner dans une étreinte fatale et stérile: « Elle, les hommes, elle les déteste ».

Pourquoi pas ? Surtout que le propos semble plus nuancé et pourrait même s’entendre (sur les causes), si le titre et le positionnement bêtement provocant ne poussait à l’extrême. Extrème binaire, simpliste. Cela fait parler. Cela fait audience. Cela fait vendre.
Mais est ce que cela fait avancer le sujet ? Est-ce que cela peut aider à la « prise de conscience nécessaire » ? Quelle prise de conscience d’ailleurs ?

Qu’en règle général, un génocide c’est masculin,
comme un SS, un torero …

Tiens, cela me dit quelque chose: « Miss Maggie ».
Mais malheureusement cela fait moins parler, moins remettre en cause. Allez, pour le plaisir et pour me rappeler que j’aurais bien aimé être auteur / compositeur et peut être interprète, mais j’ai l’impression que tout à déjà été dit. Et j’ai tendance à préférer ce genre d’approche, bien plus positive que celle de « détester et haïr » :

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