Et dire qu’on paye ces gens là, au travers de nos impôts. Alors je pourrais facilement passer, fermer les yeux et les oreilles, lâchement me dire qu’il y a plus de coups à gagner que de possibilité de faire entendre raison. Mais je crois qu’“à un moment, il faut arrêter de déconner”. Une de mes célèbres maximes. 😉

Il faut ouvrir les yeux, enlever les lunettes déformantes.

L’affliction, la réalité dépasse l’entendement. Trop c’est trop.

Ceci rejoint mon post précédent.
Il est des gens qui ne produisent rien. Ils ne sont pas dangereux. De là à dire “qu’ils ne sont rien”, non bien sûr. (ça ne passe toujours pas). Mais il en est d’autre qui pensent (sincèrement ou pire, qui font semblant d’y croire. Je leur confère une possibilité d’intelligence et c’est en cela que pour moi c’est absolument intolérable) que s’attaquer brutalement, frontalement “au système” en cherchant par tous les moyens à le détruite, à lui nuire, “à le niquer” comme il le dit, est productif. On en a déjà parlé ici, de nombreuses fois. Je ne peux que vous renvoyer à ce que j’ai déjà écris et d’autres bien mieux que moi.
Ils ne se rendent même plus compte qu’ils ne font que renforcer ce qu’ils sont censés détruire. Et pire … qu’ils nous font ch* et sont plus source de maux et de problème que de solution.
Mais à la différence d’anciens pénibles (génération 68, qui avait un peu de culture quand même), il en est une nouvelle qui ne se cache même plus … leur but “est de tout niquer”.

Et après quoi ? Ca on ne sait pas. Ils nous diront qu’il suffit de les écouter. Mais leurs propos sont intolérables et sans aucun sens. On ne change rien en recommençant perpétuellement les mêmes erreurs.
Change the world ? Au moins les Américains ont de l’ambition à défaut de solution pragmatique si on ne commence pas par “Change toi même déjà !”. Repense toi avant de vouloir faire le bonheur des autres !

Aussi les bras m’en tombent. Je découvre que ce genre de “truc”, de machin existe. Et on paye ces gens … je le rappelle !!! On les paye pour venir nous savonner la planche (sans jeu de mot), nous embourber. Je ne les cite pas, je n’ai pas envie que des moteurs d’indexations puissent penser que j’ai un atome de moi, à voir avec ces gens là. (ni avec l’extrême droite, soyons clair !)

Il y 30 ans, on disait que si tu sais courir en France avec un sac à dos de 50 kg, tu iras loin … à l’international par exemple. Et si c’était vrai ? 😉
Ils ne sont peut être pas aussi inutiles que cela alors ? Si car, pour moi, ils sont le parfait exemple du mouvement brownien. Celui qui transforme tout mouvement en chaleur. (exemple : le freinage)

Ils nous renforcent ? Mais pour un qui court, combien sont tombés ? combien d’occasions manquées ? combien de désillusions, d’espérances détruites ? combien de larmes, voir pire ? Et n’aurions nous pas couru plus vite, plus loin, mieux, sans eux ? N’aurions pas eu plus de moments avec nos proches, pour nous, plutôt que de devoir gérer sempiternellement de nouveaux problèmes ?

Alors pourquoi, comme les moustiques, pourquoi existent ils ? Ils sont bien sûr auto-engendrés par “le système” et à son service exclusif. Mais nous, en avons nous vraiment besoin ?

PS: mon blog n’est pas devenu une sorte de sinistrose globale, mais il me semble important de conserver mémoire de ce qui ne (me) va pas. Modestement, puisse cela servir à aider à se rendre compte de ne pas baisser les bras et de penser le changement, à défaut de changer le pansement. (pas de moi celle là) : NEVER GIVE UP !

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